« Pour agir, il faut aller voter »
Évidemment, Jérôme Peyrat s'avoue un peu déçu des résultats de sa famille politique, mais il rappelle que le meilleur score d'Aquitaine de l'UMP a été réalisé en Dordogne (24,06 % des voix). Le parti présidentiel reste de loin le deuxième parti du département. « Mais ce n'est pas mon style de m'arrêter au milieu du gué ou de me relever avant l'arrivée. » La tête de liste périgordine de l'UMP a été coureur cycliste amateur dans sa jeunesse et sait qu'il faut forcer dans la dernière ligne droite.
Hier soir, il était à Pau avec son équipe et, toute cette semaine ils seront sur les marchés de Dordogne, à la rencontre des électeurs et notamment des abstentionnistes du premier tour. « À défaut d'explications, je comprends les préoccupations des gens, je comprends leur grogne. Mais quand on veut agir et faire bouger les choses, il faut aller voter. Nous sommes en capacité de gérer cette région. »
« Le matraquage fiscal »
Ses appels vont aussi vers les électeurs du Modem qu'il tente de ramener à la maison, au centre droit, héritier du vote radical : « Le Modem existe là où il gère avec l'UMP, comme à Bordeaux et à Mont-de-Marsan. »
Cette dernière semain
Évidemment, Jérôme Peyrat s'avoue un peu déçu des résultats de sa famille politique, mais il rappelle que le meilleur score d'Aquitaine de l'UMP a été réalisé en Dordogne (24,06 % des voix). Le parti présidentiel reste de loin le deuxième parti du département. « Mais ce n'est pas mon style de m'arrêter au milieu du gué ou de me relever avant l'arrivée. » La tête de liste périgordine de l'UMP a été coureur cycliste amateur dans sa jeunesse et sait qu'il faut forcer dans la dernière ligne droite.
Hier soir, il était à Pau avec son équipe et, toute cette semaine ils seront sur les marchés de Dordogne, à la rencontre des électeurs et notamment des abstentionnistes du premier tour. « À défaut d'explications, je comprends les préoccupations des gens, je comprends leur grogne. Mais quand on veut agir et faire bouger les choses, il faut aller voter. Nous sommes en capacité de gérer cette région. »
« Le matraquage fiscal »
Ses appels vont aussi vers les électeurs du Modem qu'il tente de ramener à la maison, au centre droit, héritier du vote radical : « Le Modem existe là où il gère avec l'UMP, comme à Bordeaux et à Mont-de-Marsan. »
Cette dernière semaine de campagne sera aussi marquée par deux événements forts. Demain soir à 18 h 30, tout l'UMP se retrouvera à Périgueux, « pour dénoncer le matraquage fiscal imposé par Alain Rousset aux ménages, aux commerçants, aux artisans et chefs d'entreprise de Dordogne ».
Vendredi soir, la vedette sera l'ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin, qui animera un meeting public à 19 heures au Centre de la communication, cours Saint-Georges à Périgueux.e de campagne sera aussi marquée par deux événements forts. Demain soir à 18 h 30, tout l'UMP se retrouvera à Périgueux, « pour dénoncer le matraquage fiscal imposé par Alain Rousset aux ménages, aux commerçants, aux artisans et chefs d'entreprise de Dordogne ».
Vendredi soir, la vedette sera l'ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin, qui animera un meeting public à 19 heures au Centre de la communication, cours Saint-Georges à Périgueux.
article Sud-Ouest du 16/03/2010