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UMP 2ème DORDOGNE
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13 octobre 2012

DE LA POUDRE AUX YEUX.....

Réindustrialisation de Bergerac : l'UMP moque "la poudre aux yeux" de la gauche

Le conseiller général Thierry Boidé accuse le maire de Bergerac de "légèreté" et de "gesticulations".

Thierry Boidé, le conseiller général de Villefranche-de-Lonchat.
Thierry Boidé, le conseiller général de Villefranche-de-Lonchat. (Photo Archives Frédéric Thierry)
 

L'ex-Poudrerie porte bien son nom : ce site industriel où l'emploi à fondu depuis vingt ans (d'environ 2000 salariés à moins de 250 aujourd'hui) reste le lieu d'affrontement préféré des élus Bergeracois. La gauche a passé ces dernières années à critiquer la politique du propriétaire du site, l'Etat, et sa Société nationale des poudres et explosifs (SNPE). Et maintenant que la droite a quitté le pouvoir, le maire PS Dominique Rousseau réclame la démission du PDG de la SNPE, Antoine Gendry. Ce qui fait sourire le conseiller général UMP Thierry Boidé, chargé de préparer les élections de 2014 pour l'opposition : "La défense et le développement d'un territoire n'est pas une simple affaire de promesses inconsidérées, de gesticulations et de menaces", souligne Thierry Boidé, dans un communiqué, ce vendredi. 

"Dominique Rousseau fait pour le moins preuve de légèreté en se contentant d'attaquer - c'est une triste habitude chez les élus socialistes dépassés par la situation - Nicolas Sarkozy et le gouvernement précédent."

L'élu UMP met dos à dos le maire socialiste et l'ancien député (ex-UMP) : "Là où l'union des élus du Bergeracois  (toutes tendances confondues) aurait du être la règle depuis de nombreuses années pour peser véritablement sur la direction de la SNPE, M. Rousseau et ses amis n'ont opposé que des motions stériles et des démarches individuelles vouées naturellement à l'échec." Il moque aussi le projet de table ronde pour imaginer un avenir industriel au site : "Le tissu économique du Bergeracois mérite mieux que cette poudre aux yeux" jetée par des élus "qui n'hésitent pas, parallèlement et en temps de crise, à instaurer une taxe transport sur les entreprises locales".

(Article Sud-Ouest 13 10 2012)

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